Les Talons Rouges (Épisode N°09) Ix Pratiques Sadomaso
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
LES TALONS ROUGES (épisode N°09)
Agathe, âgée de quarante-cinq ans et assez effacée, elle se laisse dépuceler et dévergonder par Jacques, un jeune homme de trente-deux ans, ami de son neveu. Le beau Jacques profitant de sa candeur et de son innocence la dévergonde, entraînant également la sur dAgathe, la belle comtesse Gaëlle de Santesteban, qui elle, approche de la cinquantaine. Celle-ci, cinq mois après est seule au château lorsque Jacques la provoque et la soumet à ses désirs. Mais Agathe va rentrer de sa croisière.
IX Pratiques sadomaso
Lorsque Agathe rentre de croisière, il y a tout juste une journée que le comte est rentré de son voyage et quil a retrouvé sa femme et leur ami commun. Jacques est courtois avec les deux femmes au premier dîner pris en commun, mais il reste tout de même assez distant pour ne pas alerter son hôte. Le soir, après que chacun se soit retiré dans ses quartiers, il descend rejoindre sa première amante. Celle-ci lui demande abruptement sil sest passé quelque chose entre lui et sa sur pendant son absence. Jacques la regarde ironiquement et lui avoue tout de go.
- Bien sûr ma chère, nous avons fait lamour, toutes les journées et toutes les nuits où vous étiez absente. Cest de votre faute, jarrive après cinq mois dabsence, et mademoiselle est partie en croisière. Heureusement que Gaëlle était là pour contenter la grande envie que javais de vous.
- Oh ! Vous êtes un monstre. Vous ne maimez pas.
À ce moment, Agathe, en se jetant sur son lit, éclate en sanglots. Jacques sourit devant cette crise de jalousie, et, sasseyant près delle, il lui dit.
- Je ne voudrais pas vous faire de reproches ma chère, mais cest bien vous qui avez mis votre sur dans notre lit. Enfin qui vous dit que nous avons fait lamour ? Cela nest pas écrit sur nos visages que je sache ?
- Elle ma tout avouée ce matin, et apparemment elle ne regrette rien, elle dit même que vous êtes un merveilleux amant.
- Vous voyez, rien de fâcheux apparemment. Nous pourrons donc nous aimer tous les trois comme une certaine nuit où vous maviez couvert le visage dune cagoule. En attendant une bonne partie à trois, je vous ferais bien lamour moi. Vous mavez manqué et ma verge a vraiment besoin dune petite gâterie.
Agathe se retournant sur son lit le regarde avec la candeur dune jeune fille, sexprimant dailleurs de la même façon.
- Cest vrai ? Je vous aie manqué ? Oh ! Mon Amour ! Jai cru dépérir durant ces longs mois. Si vous le voulez nous ferons lamour avec Gaëlle, vous savez bien que je ne peux rien vous refuser.
Jacques a profité des bonnes dispositions de sa maîtresse, pour la trousser proprement et, passant ses doigts dans sa culotte, il entreprend de fureter avec ses doigts dans lentrejambe, pendant que celle-ci, se penchant vers son pantalon et ouvrant sa braguette, sors le membre érigé et lenfourne sans coup férir dans sa bouche. Elle le pompe avec force jusquà ce quil éjacule entre ses lèvres, ne sarrêtant pas à ce moment, suçant le vit jusquà ce quil ne reste plus une seule goutte. Apparemment, elle veut ainsi montrer sa supériorité sur sa sur en se montrant la plus habile à faire jouir son « homme », marquant ainsi son territoire. Tout cela na pas échappé à Jacques qui questionne habilement Agathe sur les cinq mois où il a été absent et sur la croisière quelle vient deffec.
Elle lui parle dabord de la croisière en Méditerranée et des villes Grecques quelle a visitée avec sa grand-tante, elle babille un peu, parlant de choses et dautres. Enfin, elle se décide à raconter, quun homme de son âge lui a fait la cour durant ces trois semaines. Elle a manqué succomber, mais la compagnie de sa grand-tante na pas facilité les choses. Il a pu tout de même lembrasser et même caresser sa poitrine, mais quand il a voulu glisser une main sous sa jupe ample, elle la découragé. Cest un homme marié de quarante-cinq ans environ, notaire de son état, voyageant avec son épouse.
Enfin elle lui avoue, quil y a deux mois, se trouvant à la frontière avec son cheval, elle sest retrouvée en Espagne sur les terres de son beau-frère. Alors quun orage éclatait et que sa jument prenant peur lavait désarçonné et sétait enfui, elle avait trouvé refuge dans la hutte dun bûcheron. Épuisée par la chute et la longue course à pied quelle avait effectuée, elle sétait endormie sur le grabat de loccupant des lieux, absent à cette heure de la journée. Lorsquelle avait repris ses esprits, le maître des lieux, un colosse espagnol était rentré de son dur labeur. Lhomme, très gentil malgré ses manières frustes, lavait soigné et pansé. Pour cela elle avait été obligée denlever ses vêtements, ayant les genoux et les bras suffisamment écorchés pour devoir être désinfectés. Lorsque lhomme lavait vu à demi nue, après lavoir soigné, il navait pu sempêcher de vouloir la violer. Agathe sétait résolue à lui céder plutôt quà lui résister. Aussi, elle sétait laissé embrasser par le colosse, qui ne pouvant se retenir plus longtemps, avait arraché sa culotte et qui, sans préparation, lavait brutalement baisé à même le sol, entrant et sortant une bite énorme de son vagin martyrisé. Agathe ne cache pas à Jacques, que malgré lépouvante qui lavait saisie ou peut-être à cause delle, elle sétait retrouvée trempée, dailleurs heureusement car la verge avait glissé parfaitement dans ses parois vaginales, lui faisant prendre un terrible pied.
Jacques, durant toutes ces confidences qui lémoustillent, reprend peu à peu des forces. Il se promet dailleurs dutiliser plus tard les aveux de sa maîtresse, aussi bien en essayant de savoir si le couple de croisiériste serait à même de faire des partenaires pour leurs jeux, que de prévoir une randonnée avec les deux femmes pour essayer de les faire sodomiser par le bûcheron espagnol. Il nen dit mot à Agathe, voulant se ménager la surprise le jour venu.
En attendant, il dispose Agathe à genoux sur le lit, lui demandant décarter ses fesses. Celle-ci, docile aux désirs de son amant, se prête avec complaisance à lacte sodomite. Jacques, sans coup férir, lencule à sec. Agathe se montre stoïque, elle reçoit lassaut avec empressement, sagitant sur la queue qui la transperce et ahanant devant la pénétration brutale de son petit orifice, songeant que lEspagnol aurait pu la forcer ainsi et peut-être lenvoyer à vie dans un hôpital sinon pire. Une bouffée de chaleur lenvahit au souvenir de cette nuit déprouvante dans la montagne, la faisant aller au-devant de la verge qui se faufile entre ses fesses. Alors quil éjacule en elle, son amant sabat sur ses reins, la plaquant à plat ventre sur le lit. Comment a-t-il pût deviner ses songes les plus secrets ? Il lui glisse à loreille.
- Tu te demande comment le bûcheron aurait pu tenculer de la sorte, nest ce pas ma chérie ? Tu aurais bien voulu sa queue dans ton trou mignon, ne dit pas le contraire, je suis certain que tu en rêves.
Depuis le début de leur aventure, Agathe et Jacques se vouvoient et se tutoient suivant les circonstances. Le vouvoiement étant dailleurs le plus souvent utilisé, comme avec Gaëlle dailleurs. Cette fois, malgré le tutoiement intentionnel et le langage vulgaire de Jacques, Agathe continue à le vouvoyer.
- Vous êtes méchant. Vous savez bien que je vous aime. Cest vous qui me forcez à penser à dautres hommes, mais cest vrai que je nen reviens pas encore de la grosseur du pénis de cet Espagnol qui a pu menfiler dans ma chatte son gros pieu, jen suis encore abasourdie.
- Bien, puisque tu aimes les grosses queues, je veux que tu me laisses tattacher pour te punir de tes penchants honteux. Allons donne-moi tes poignets et allonge-toi sur le lit sur le dos. Lève tes bras et écarte tes cuisses !
Ce faisant, Jacques lui a passé des menottes aux poignets et aux chevilles et la attaché, écartelée sur son lit. Agathe se laisse faire en souriant, sachant que les jeux pervers vont recommencer, ce quelle adore. Pourtant cette fois-ci, elle est surprise des idées incongrues de son amant. Il a allumé des bougies dans la chambre, éteignant les lumières électriques, donnant ainsi à la pièce une atmosphère fantasmagorique. Puis, prenant une bougie allumée entre ses doigts, il fait couler un peu de cire chaude sur le ventre dAgathe qui tressaute violemment au contact brûlant sur sa peau tendre, poussant un petit cri de douleur lorsquune deuxième coulure attend le globe de son sein droit. Puis cest le sein gauche, lintérieur des cuisses si sensibles, encore les seins, cette fois sur les mamelons, et enfin sur le mont de venus, la cire brûlante sapprochant de la vulve à chaque fois un peu plus, arrachant à la femme des gémissements ininterrompus. La cire heureusement, refroidi presque instantanément et la sensation est assez fugitive, mais la peur accentue encore la souffrance endurée, surtout que les bouts de ses seins sont complètement recouverts par la bougie fondue qui cette fois garde la chaleur devant les nombreuses coulées superposées. Les larmes et les cris dAgathe narrêtent pas son tourmenteur qui cette fois, approche une bougie du vagin, laissant un filet de cire chaude sécouler dans la fente si délicate, provoquant cette fois un arc de cercle du corps dAgathe qui se tord de douleur, hurlant sa souffrance et insultant son amant qui lui inflige un supplice insoutenable. La cire chaude ayant atteint dans un premier temps son clitoris si sensible et vulnérable, puis sécoulant en brûlant les chairs si tendres au-delà des nymphes si fragiles des petites lèvres, nallant pas plus loin que les parois des muqueuses sans aller jusquau fond du vagin. Agathe se tord sur le lit, car elle ne peut enlever les entraves qui la lient aux montants tellement sa douleur est forte. Jacques va chercher dans la salle de bains des crèmes et des pommades calmantes et il revient soccuper du corps meurtrit de sa maîtresse. Celle-ci pleure cette fois sans retenue à gros sanglots, alors que Jacques délicatement retire les plaques de cire de son ventre et de ses seins, appliquant les crèmes et huile adoucissantes sur la peau rougie. Il a un peu plus de mal avec lintérieur des chairs vaginales et le capuchon du clitoris qui se montrent effroyablement douloureux pour la belle suppliciée. Enfin, il arrive à ses fins, enduisant les parties les plus intimes dune huile qui calme immédiatement la douleur. Ses doigts rencontrent dailleurs de la mouille à lintérieur de la matrice, prouvant sans aucun doute quune certaine jouissance sest ajoutée à la souffrance. Dailleurs, alors quelle pleure encore, lorsque Jacques introduit son membre dans sa vulve martyrisée, son ventre va au-devant de la verge qui pénètre à peine les chairs mutilées, faisant des circonvolutions autour des chairs meurtries. Sa langue se mélange instantanément avec celle de Jacques qui lui baise la bouche. La forte douleur ressentie a exacerbée ses sens, ce que Jacques avait pressenti, aussi elle le supplie maintenant de la baiser et de lui faire mal.
- Salaud ! Viens au fond de moi je veux jouir ! Tu es un monstre, mais je taime. Viens encore ! Plus fort ! Fais-moi mal ! Défonce-moi ! Je te hais, mais je taime ! Allez ! Viens encore ! Défonce-moi la chatte ! Mords-moi les seins ! Déchire-moi salaud !
Jacques sapplique aussitôt à contenter sa belle, il mord à pleines dents les mamelons encore chauds de la cire dont ils ont été recouverts, pilonnant sans arrêt le con qui bave de la mouille que la cire chaude a provoquée par la transformation de la douleur du ventre en jouissance psychique et physique en même temps. Il a pris sa taille entre ses mains, la soulevant légèrement du lit pour senfoncer avec encore plus de force en elle, la faisant crier alors que, ne pouvant plus retenir plus longtemps sa propre jouissance, il sépand en elle, linondant de son foutre jusquau col de son utérus.
Jacques savoure le pouvoir quil vient dobtenir sur la quadragénaire. Elle est maintenant toute à lui. Il pourra en faire ce quil voudra, lui imposer tous ses fantasmes. Après ce quil vient de lui infliger, il en est maintenant certain. Il lui reste tout de même à solliciter ses reins dune façon atroce afin de savoir si elle pourra se faire sodomiser par la monstrueuse queue de lEspagnol.
Il profite de labandon de la femme pour la détacher et la préparer à lenculage quil désire. La retournant sur le ventre, il lattache de nouveaux avec les menottes dans cette nouvelle position. Puis, prenant trois gros coussins sur le canapé, il les glisse sous son ventre, ayant ainsi ses fesses largement écartelées, donnant accès aussi bien à son anus quà sa vulve. Lorsque Agathe reprend ses esprits, elle est surprise de se trouver dans cette position et questionne son amant.
- Jacques ? Que veux-tu encore me faire ? Tu crois que je naie pas assez souffert. Oh ! Et puis zut, fait ce quil te plaît. Même si je souffre, je jouis également. Tu es le plus adorable salaud que je connaisse.
- Ma chérie, je vais dabord vous fouetter, sur les fesses, bien entendu, jusquau sang, pour que vous puissiez jouir après. Enfin je vais tenter de vous enculer avec ce gode. Vous rêviez de celui du bûcheron si je ne m. Celui-ci est-il de la même grosseur ?
En voyant lolisbos que Jacques lui présente, Agathe est effarée. Cest un bâton de caoutchouc demi souple, imitant à la perfection les contours dune verge, dont la longueur doit bien atteindre quarante-cinq centimètres, mais dont le diamètre est vraiment impressionnant, disons un bon soixante-cinq millimètres. Plus gros quune bouteille de soda. Il est déjà presque inconcevable quun vagin puisse accepter un tel engin, mais un anus, cela paraît complètement improbable. Pourtant, du fait de sa matière presque souple, lengin pourra entrer au plus profond, presque jusquaux intestins, puis quil pourra sans mal de frayer un chemin dans langulation que forme le rectum en son centre. Quant à sa grosseur, lampoule rectale est suffisamment souple pour recevoir un engin encore plus gros, seuls lélasticité des muscles de lillet rectal sont à vaincre.
- Vous êtes fou Jacques, vous ne pouvez pas mimposer cet
cet objet énorme. Cela nentrera jamais. Ou
Ou alors vous allez menvoyer à lhôpital. Oh ! Mon Dieu ! Vous êtes devenu fou. Ce nest pas possible. Au secours ! Au sec
Jacques sans hésiter vient de la calmer en lui appliquant une fessée dont elle se souviendra, Il frappe les globes de ses fesses avec sa main bien à plat, faisant rougir le postérieur rapidement et rappelant certainement à Agathe, les corrections quelle a dû recevoir par les surs des Ursulines où elle a été élevée à Lourdes. Dailleurs celle-ci sest tue, pleurant doucement de la fessée quelle reçoit comme lorsquelle était adolescente. Mais elle nen a pas fini avec la douleur de ses fesses, car Jacques, changeant de tactique, sest à présent muni dun fouet à cinq brins quil applique avec force sur le derrière de sa prisonnière. Celle-ci hurle sous les coup de fouets appuyés de son amant, surtout que dans la position ouverte qui est la sienne, des lanières se glissent parfois dans son entrejambe, atteignant ses parties les plus intimes, lui occasionnant une douleur atroce.
Jacques, sarrête soudainement et ne prenant aucun repos, il encule sa proie tout de go, ramonant le cul quil trouve humide et qui prend son rythme sans protester cette fois. Agathe, surexcitée par la correction quelle vient de recevoir, prend un plaisir incroyable au sexe de son amant qui la fouille au fond de ses entrailles, surtout lorsque celui-ci, glissant une main sous son ventre, vient caresser sa vulve et son clitoris, augmentant encore la jouissance qui déferle en elle. Lorsque Jacques éjacule dans son anus, et se retirant, badigeonne ses fesses avec son sperme, adoucissant les cinglantes brûlures, elle sadresse avec une grande douceur à son tourmenteur.
- Merci mon Jacques ! Vous mavez fait encore jouir dune façon différente, comme à chaque fois. Je vous aime mon chéri et je naime que vous. Vous pourrez moffrir à dautres hommes, il ny a quavec vous que je jouirais autant.
Jacques sourit à la déclaration de sa suppliciée. Il sapproche de sa bouche et il lembrasse tendrement, tout en lui déclarant.
- Ma chérie, je suis très heureux que malgré les souffrances que je vous occasionne, le plaisir sempare heureusement de vous. Mais à présent, il faut que je prépare votre derrière à ce que vous savez. Nayez pas peur, jai prévu une manière non douloureuse de vous faire accepter cet engin comme vous dites.
Jacques, se saisissant dun coffret quil a apporté avec lui, en sort un tout petit anus-picket en caoutchouc souple, relié à une bouteille en métal par un tuyau de deux mètre de long. Il introduit lolisbos entre les fesses dAgathe qui frémit de peur, étonnée de sentir à peine le petit pénis artificiel pénétrer dans son anus. Il sassure que le gode ne senfonce pas trop, mais quil reste à peine entré dans le goulet étroit, puis, il appuie sur une manette de la bouteille, laissant entendre un sifflement qui en sort. En fait cest de lair comprimé quil envoie ainsi dans le pénis artificiel qui se gonfle doucement, écartant les muscles des sphincters et agrandissant démesurément le conduit rectal. Étrangement, Agathe ne ressent aucune douleur, seule une gêne dans son anus quelle sent sécarteler progressivement, aidé en cela par Jacques, qui verse une huile émolliente le long du gode et dans le rectum, pour que les parois en soient bien imprégnées. Enfin, lorsque le gonflement lui paraît suffisant, il arrête le robinet dair, contemplant les globes des jolies fesses dAgathe, qui exagérément écartelées laissent découvrir lanneau de lanus qui forme un énorme bourrelet dans lequel est fiché lolisbos gonflé comme une baudruche. Rassuré sur la suite de ce quil prépare, il vient se glisser sous le visage dAgathe en lui présentant son vit à sucer. Celle-ci ne se fait pas prier, elle engloutit la verge sans hésitation, mordillant le bâton de chair pour le faire gonfler un peu plus vite entre ses jolies lèvres, entortillant sa langue autour du gland, essayant de faire entrer la pointe dans le méat entrouvert, puis, suçant avec application le sexe masculin avec sans aucun doute un plaisir étonnant dingénuité
Jacques songe que la quadragénaire qui le pompe avec autant de recueillement se nomme Agathe Donamaria de Urroz, quelle est dune ancienne famille basque espagnole qui remonte à Charles-Quint, ses ancêtres ayant participés à la reconquête de lEspagne sur les Maures et quelle était encore vierge, il y a moins de six mois. Il ne peut que constater quil ny a aucune femme de définitivement frigide, il faut seulement utiliser dans ce que chaque femme a de différent, le truc, la chose, le mot, le geste, que sait-il au juste, qui déclenchera le désir de faire lamour. Il nest pas certain davoir toujours su, pourtant, il ne se souvient pas davoir eut beaucoup déchecs, trouvant, comme par miracle, à chaque fois, ce qui fait vibrer une femme. Alors quil rêvasse aux désirs des femmes, la jouissance déferle dans son corps, alors que sa verge expulse son sperme sur le visage dAgathe, qui immobilisée par ses entraves a beaucoup de mal à rattr le pénis qui a échappé à ses lèvres. Elle suce et avale jusquà la dernière goutte le jus poisseux, trouvant à ce geste une preuve damour pour son amant, sans astreinte daucune sorte.
Pour elle pourtant, rien nest terminé, Jacques qui se redresse vient voir le cul écartelé de sa patiente, il redonne un petit coup dair, écartant encore un peu plus lanus prêt à craquer, puis il prend lénorme gode, bien dur celui-ci quil veut glisser dans le rectum dAgathe. Celle-ci est devenue blanche comme de la craie. Ce nest pas de lair qui va sintroduire entre ses fesses, mais bien un objet consistant qui va fouiller ses entrailles atrocement. Elle sait que ça ne sert à rien de supplier son amant. Il la sodomisera de toute façon avec son engin monstrueux, à quoi bon protester. Quil fasse vite maintenant, quelle sache au moins sil ne va pas lestropier à vie.
Jacques doit certainement deviner ses pensées, car, dégonflant à peine le pénis artificiel, il larrache dun geste prompt, faisant faire un « flop » lorsque lengin sort de lanus, alors quun cratère impressionnant souvre démesurément sous les yeux de Jacques qui se demande comment une ouverture pareille puisse se faire. Mais ne voulant pas que le gouffre se referme, il avance aussitôt le gros pénis, forçant sur le gland pour quil écarte encore plus les sphincters, arrachant des feulements de douleur à Agathe qui peut se croire fendue en deux. Mais Jacques, poursuit inexorablement sa mission, poussant peu à peu le monstre dans le rectum qui emboîte étroitement le tube de caoutchouc. Lénorme tube disjoint les chairs péniblement, glissant tout de même sur les parois huilées et défonçant le rectum altier jusquaux fonds des entrailles. Agathe na même plus la force de crier, elle halète doucement, essayant de reprendre sa respiration, car la monstruosité de lacte lui a coupé le souffle. Pourtant, elle na pas vraiment mal, éprouvant seulement une certaine gêne dans ses boyaux trop occupés, mais la sensation devient étrange, surtout lorsque Jacques, se met en demeure deffec un va-et-vient dans le cul intégralement dilaté. Elle a limpression que tous ses intestins vont sortir en même temps que lénorme machine qui fouille sa matrice anale. Mais, lorsque le monstre se glisse à nouveau dans son fondement, elle éprouve une sensation jouissive de se savoir pénétrée par cette verge impressionnante et elle se met dun seul coup à rêver à son colossal bûcheron, qui aurait pu la prendre ainsi. Jacques se rend bien compte de la transformation des traits de son amie, aussi il accélère progressivement la cadence, la bourrant bientôt avec force dans son anus dilaté, faisant onduler le pénis factice dans le rectum, affolant les sens dAgathe jusquà lui faire crier sa joie.
- Ooooh ! Oui ! Encoorrrr !... Oh! ..........Vite ! Vite ! Oui ! Encoorrrr !... Oui ! Oh !........... Encoorrrr !... Aaaaaaaaaaahhhh !........ Ouuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii......... Aaaaahh !.... Mhmmmmmmmmmm...... Je jouis ! Oui ! Oh ! Je
Je
.. jouuuuuiiiiiiiiiiiiiiii........ Oh !........... Encoorrrr !... Encoorrrr Ouuuuuuuuiiiiiiiiiiiii... Je jouis ! Ouuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.........
La pauvre, sous la jouissance qui est trop forte, laisse la bave sécouler de ses lèvres exsangues, ses yeux roulent comme des billes de flipper, puis, la tension étant trop forte, elle sévanouit. Aussitôt, Jacques cesse de la baratter comme un forcené et retire très doucement lengin qui fait rouler les bords de lanus en sortant du cul très largement dilaté. Il enlève délicatement les menottes qui retiennent prisonnière la femme sans connaissance, il retire les coussins rehausseurs de dessous son ventre, puis il la recouvre dun duvet pour quelle ne prenne pas froid. Ensuite, il prépare un bain très chaud, où il verse des huiles et des sels parfumés. Puis, il fait chauffer deux grandes serviettes de bain, enfin, se saisissant dune des serviettes, il en enveloppe le corps inanimé de sa maîtresse, puis, la prenant dans ses bras, il vient la plonger dans la grande baignoire où il se glisse, lui aussi à ses côtés. Agathe reprend connaissance et se blottissant dans les bras de son amant, elle lui glisse dans son oreille.
Tu es un monstre, mais je taime, je taime mon amour.
Le couple enlacé, sembrasse longuement, alors que Jacques caresse le dos de sa compagne, massant ses épaules pour la décontracter, enfin il lui frotte le corps avec une éponge douce, cajolant la femme quil vient de faire souffrir durant des heures interminables.
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